UNICEF works in 190 countries and territories to save children”s lives. To defend their rights. To help them reach their potential. In Djibouti, UNICEF”s presence dates back to July 1981, and it is now more than three decades since UNICEF, in close collaboration with its partners, has been working to maintain the gains made and to ensure a better future for every boy and girl.
L”UNICEF Djibouti se trouve à un moment stratégique alors que le programme pays s’est renouvelé en
début 2025, comprenant la santé, la nutrition, WASH, l”éducation et le développement des adolescents,
la protection de l”enfance, la protection sociale et l”efficacité du programme. Le programme pays s”articule
autour de 3 grandes priorités : i) la réduction de la mortalité maternelle et des enfants de moins de cinq
ans grâce à une approche de suivi intégré dans les 1 000 jours de la vie de l”enfant grâce à des interventions
liées à la santé, au VIH, à la nutrition, à l”eau, à l”hygiène et à l”assainissement ; ii) la garantie d”un accès
égal à une éducation de qualité, en particulier pour les enfants défavorisés et iii) la réduction des
vulnérabilités des enfants grâce à l”accès aux services de protection.
La section Éducation et Développement des Adolescents (EDA) se concentre sur i) l”accès équitable à
l”éducation ii) la qualité de l”apprentissage et iii) la bonne gouvernance, et se compose d’une équipe de 5
personnes à temps plein.
Dans ce cadre, l’éducation et l’autonomisation des filles sont deux des défis majeurs en République de
Djibouti, en particulier en milieu rural. De façon à pallier ces derniers, l”UNICEF Djibouti a reçu un
financement important de l’Agence Française de Développement (AFD) en février 2022 pour la mise en
œuvre d’un projet d’une durée de 4 ans (2022-2026) visant à promouvoir la scolarisation et
l’autonomisation des filles.
Les objectifs spécifiques / les composantes du projet sont les suivants :
1. L’accès des filles à une offre d’éducation primaire et moyenne de qualité est amélioré en zones
rurales et péri-urbaine (Ali-Sabieh, Dikhil, Obock et Balbala)
2. La rétention des filles venant de zones rurales et péri-urbaines dans le système éducatif est
améliorée (Ali-Sabieh, Obock, Tadjourah, Arta).
3. Les compétences des filles vivant en milieux ruraux et péri-urbainssont renforcées, permettant
une meilleure intégration sur le marché du travail local et national (Ali-Sabieh, Dikhil, Obock,
Balbala)
4. Les compétences des personnels du MENFOP, MFF et MJC existant au niveau national et régional
sont renforcées pour la mise en œuvre et le suivi/évaluation de la politique nationale de
scolarisation des filles
Dans le cadre de la composante 3, il s’agit de proposer une alternative de perspectives et de formations
professionnelles, de déboucher sur des possibilités d’embauches, d’entrepreneuriat ou d’auto-emploi
dans les localités / les régions sélectionnées pour ces initiatives (Ali-Sabieh, Dikhil, Obock et Balbala). Elle
s’adresse majoritairement aux filles qui ont abandonné l’école au cours du collège, du lycée et les sortantes
des centres LEC (Lire, Ecrire, Compter) trop âgées pour reprendre l’école fondamentale et pour qui les
compétences de base (lecture, écriture, mathématiques) sont acquises.
• Le/la Spécialiste doit justifier d’une expérience d’au minimum 5 ans dans la conception et la
gestion de partenariats avec les différentes parties prenantes du secteur de la formation technique
et de l’insertion professionnelle, du secteur privé, dans l’insertion des jeunes ainsi que dans
l’autonomisation des jeunes filles
• Solides compétences en gestion de projet impliquant de multiples parties prenantes sont requises
• Une expérience de travail technique liée à la recherche et à l”analyse de données, à la mobilisation
communautaire et à la gestion de projets sur le développement des compétences des jeunes et
l”augmentation de l”employabilité est nécessaire
• Forte aptitude d’écoute, de communication interne, de flexibilité et d’adaptabilité
• Capacités de rédaction écrite en français et de manipulation du pack Office irréprochables, avec une
très bonne aisance dans l’utilisation de l’outil Excel et une forte compétence de rédaction de rapports.
• Capacité à travailler de manière indépendante ainsi qu”en équipe dans un environnement international,
multiculturel et interdisciplinaire et à établir des relations de travail harmonieuses et efficaces tant à
l”intérieur qu”à l”extérieur de l’organisation ;
• Forte maitrise des liens entre les différents sous-secteurs de la formation et de l’insertion des jeunes,
des structures institutionnelles clés, les composantes et processus, ainsi que les questions de
gouvernance dans le secteur ;
• Capacité de déplacements réguliers sur le terrain dans les localités éloignées des régions
• Excellentes compétences en communication pour des engagements de haut niveau avec des
partenaires gouvernementaux ainsi qu”avec des collaborateurs au niveau communautaire.
• Compréhension approfondie des contextes régionaux de Dikhil, Ali Sabieh et Obock, en particulier pour
les jeunes filles, avec une expérience précédente avec les Conseils régionaux
• Disposer d’une bonne expérience dans la conception, l’exécution et la conduite des enquêtes ;
• Avoir une grande capacité d’analyse, de synthèse et de rédaction des rapports ;
• Avoir des aptitudes confirmées de l’utilisation de des systèmes d’information en général ;
• Avoir des capacités d’interaction avec le gouvernement et les autres partenaires de développement
nationaux et internationaux
• Motivation à contribuer à la paix et au développement et à servir les autres ;
• Bonnes compétences interpersonnelles, bonnes compétences pour mener des discussions avec des
communautés, souvent vulnérables, et bonnes compétences en communication ;
• Volonté à contribuer au travail en tant que membre d’une équipe ;
• Flexibilité et ouverture à l’apprentissage et aux nouvelles expériences ;
• Respect de la diversité et adaptabilité aux autres cultures et conditions de vie ;
• Niveau d’autonomie très élevé
Le niveau de sécurité de l”ONU est au niveau 3 pour Djibouti-Ville.
La température moyenne varie de 23º à 29º en janvier et de 31º à 41º en juillet. Les précipita-tions annuelles vont de 127 mm dans la capitale à 380 mm dans les montagnes.
Il n”existe des services bancaires locaux qu”à Djibouti-Ville et il est recommandé d”ouvrir un compte bancaire. Les cartes de crédit ne sont pas largement acceptées à Djibouti. Il y a quelques guichets automatiques (ATM) dans la ville de Djibouti. Ces guichets n”acceptent que les cartes Visa et sont souvent hors service. Les voyageurs ne doivent pas s”en servir comme unique moyen d”obtenir des devises.
Le français, l”afar, le somali et l”arabe sont parlés par la population locale et par les autorités.
La disponibilité des vols est la suivante : Un vols hebdomadaires AIR France de Djibouti à Paris, Deux vols quotidiens avec ETHIOPIAN Airlines de Djibouti à Addis Abab, deux vols hebdomadaires avec Turkish Airlines de Djibouti à Istanbul.
A l”arrivée, il est recommandé de réserver une chambre dans un hôtel agréé (Kimpinski, She-raton, Acacias, Bavaria, Alia, Ali-Sabieh et Auberge Le Heron. Il y a aussi la possibilité de louer un logement privé peu après quelques jours passés à l”hôtel.
Pour les taxis, il est recommandé d”utiliser uniquement ceux peints en blanc et vert ou ceux fournis par votre hôtel. Assurez-vous qu”ils connaissent votre destination et négociez le prix de la course avant de la commencer. Il vous est fortement recommandé de ne pas utiliser les bus car ils sont mal entretenus et leurs opérateurs conduisent même de manière erratique, sans se soucier de la sécurité des passagers.